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Mbappé en Équipe de France : un problème devenu structurel ?

Mbappé, capitaine critiqué et de moins en moins soutenu

Depuis plusieurs mois, Kylian Mbappé ne fait plus l’unanimité chez les Bleus. Son statut de capitaine est contesté, même en interne. Il ne défend pas, décroche trop et veut tout faire, du jeu à la finition, en passant par l’organisation. Ce comportement pose problème, surtout lorsqu’il occupe le poste de numéro 9. Lorsqu’il redescend, il laisse la surface vide. Résultat : ses coéquipiers se retrouvent sans solution dans la zone de vérité. Et ça, ce n’est pas qu’un détail.

Un jeu collectif gêné par Mbappé

Les derniers rassemblements de l’EDF étaient semblables à une télénovelas. Entre ses non-sélections par Deschamps et les fausses blessures du N°10 français. Un vrai « Cas Mbappé » s’est créé. Le Madrilène ne joue pas comme un pur attaquant, il cherche à créer le jeu, dicter le tempo, organiser les attaques… Mais ce n’est pas son rôle. En voulant tout faire, il déséquilibre l’équipe et laisse des trous dans le pressing défensif. Certains cadres du vestiaire ne supporteraient plus cette liberté totale. Et l’ambiance autour de lui se dégrade jour après jour. 

Mbappé fait ce qu’il veut… parce que Deschamps le laisse faire

Le vrai problème est là. Si Mbappé joue sans contrainte, c’est qu’on le laisse faire. Or, cela dépend du sélectionneur. Didier Deschamps, occupe bel et bien ce poste mais ne remplit pas vraiment ses fonctions. Il ne recadre pas son capitaine. Il ne corrige ni ses placements ni ses efforts défensifs. Avec ce beau mélange, on obtient un joueur qui agit sans limites. Et une équipe qui en subit les conséquences sur le terrain.

Mbappé : Pas seul fautif

Effectivement, Kylian Mbappé est critiquable, seulement il n’est pas seul fautif. Le manque d’encadrement est aussi un souci majeur. En tant que sélectionneur, Deschamps doit imposer ce cadre actuellement manquant. Il se doit de remettre chacun à sa place, même son capitaine. Aujourd’hui, ce flou tactique pénalise les Bleus. Et tant que Deschamps évite le conflit, le vrai problème persiste.

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